Histoire de Saint-Germain-des-Essourts
Saint-Germain-des-Essourts
Histoire de Saint-Germain-des-Essourts
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En 1080, l'abbaye du Bec présente à la cure, puis en 1441 Hugues d'Amies, archevêque de Rouen, confirme à l'abbaye de Rouen la possession de cette église. Dans le pouillé d'Eudes Rigaud et sur les registres de l'archevêché de l'an 1593, la paroisse porte le nom de Saint-Germain-de-Fontibus, et selon l'aveu du 26 juin 1695, le seigneur de Fontaine-Châtel a le droit d'y présenter à la cure. Au 18ème siècle, un terrible orage de grêle fait déborder la rivière, envase église et presbytère, et détruit toute la faune et la flore environnantes. En 1789, le seul vestige de la Révolution et le chœur de l'église Saint-Sulpice à Fontaine-Châtel. On y apporte alors les enfants en pèlerinage.
Dans le cimetière attenant, on peut lire sur la sépulture de Victor Marcadé : « ici repose près des ancêtres inhumés dans l'église depuis des siècles, Napoléon, Victor Marcadé, fils de Jean-Claude Nicolas et de Marie-Rose Grandin, ancien avocat au Conseil d'Etat et à la Cour de cassation, auteur de l'explication du Code Napoléon et des Études et sciences religieuses, né à Rouen le 28 juillet 1810, décédé à Rouen le 17 août 1854. » Jouant un rôle primordial dans l'histoire de la commune, les armoiries des Grandin de Raimbouville sont : « d'azur à trois flèches tombant d’argent ».
Dans le cimetière attenant, on peut lire sur la sépulture de Victor Marcadé : « ici repose près des ancêtres inhumés dans l'église depuis des siècles, Napoléon, Victor Marcadé, fils de Jean-Claude Nicolas et de Marie-Rose Grandin, ancien avocat au Conseil d'Etat et à la Cour de cassation, auteur de l'explication du Code Napoléon et des Études et sciences religieuses, né à Rouen le 28 juillet 1810, décédé à Rouen le 17 août 1854. » Jouant un rôle primordial dans l'histoire de la commune, les armoiries des Grandin de Raimbouville sont : « d'azur à trois flèches tombant d’argent ».